vendredi 21 mars 2014

« Facebook n’est pas le problème : c’est le symptôme ! »

Dans le New Yorker, la psychologue Maria Konnikova(@mkonnikova), l'auteure du bestseller Mastermind, comment penser comme Sherlock Holmes ? revient sur plusieurs études de confrères sur les usages de Facebook, montrant des résultats contradictoires. Certaines montrent que Facebook rendrait ses utilisateurs tristes, comme c'est le cas de celle dirigée par Ethan Kross, directeur du laboratoire sur l'émotion et l'auto-contrôle de l'université du Michigan (et qui rappelle les résultats de Robert Kraut (Wikipédia), qui, en 1998, avait montré que plus les gens utilisaient l'internet, plus ils se sentaient seuls et déprimés), et d'autres prouvent exactement le contraire.
Nous avions déjà souligné que l'internet ne nous rendait pas seuls ou combien notre obsession pour la déconnexion cachait en fait une toute autre forme d'anxiété. Maria Konnikova nous permet de faire un pas de plus, en tentant de démêler le vrai du faux. La suite ici.

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