FACEBOOK - La situation est inextricable, digne des plus grandes théories du complot. D'un côté, des internautes et des journalistes (dont ceux du HuffPost) persuadés d'un "bug", qui ont remarqué lundi 24 dans l'après-midi que des messages privés apparaissaient dans leur journal ("timeline") de manière publique, particulièrement dans les années 2007-2008-2009. De l'autre, Facebook qui nie en bloc. D'un côté des témoignages de bonne foi mais qui ne peuvent apporter aucune preuve tangible. De l'autre, une entreprise mise à mal depuis son introduction en Bourse pour laquelle un doute au sujet de sa sécurité serait catastrophique. Et qui n'a donc aucun intérêt à rendre une faille publique.
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